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FAQ

  • Pour le traitement des remontées capillaires, est-ce que c’est la pression d’injection qui fait que l’hydrofuge pénètre correctement dans toute l’épaisseur du mur et surtout de façon homogène ?
    NON, certainement pas, et surtout pas… ce qui fait que l’hydrofuge parvient à bien imprégner le mur (pierre, moellon, brique, etc.) c’est sa formulation et plus particulièrement le dosage de ses tensioactifs. Une trop forte pression d’injection, ferait a contrario que la diffusion ne soit pas homogène et de fait, inefficace. Le produit est une microémulsion, qui contient un tensioactif anionique, qui va modifier sa tension superficielle pour lui conférer un pouvoir mouillant et pénétrant. Une pression d’injection (ou de transfusion) proche de zéro serait dans l’absolu, suffisante.
  • Comment être certain d’avoir injecté suffisamment d’hydrofuge dans chaque trou ?
    La meilleure façon de procéder est de s’y prendre en plusieurs fois en injectant d’abord 15 ou 20 cl par trou et de passer ensuite aux trous suivants jusqu’au bout du mur, pour revenir une deuxième, voir une troisième fois, en re-injectant chaque trou. Après 2 ou 3 injections successives, le mur sera saturé à cœur.
  • Et si avec une crème il était possible d’injecter autant de produit qu’avec un liquide, en insistant et en s’y reprenant à plusieurs fois ; cela fonctionnerait peut-être mieux ?
    Il faut savoir avant tout, que pour obtenir une crème ou un gel, un chimiste partira d’un produit de base concentré (notre résine hydrofuge par exemple) en association avec de l’eau afin de créer une émulsion (la crème ou le gel). Et pour ce faire il utilisera des polymères ou des tensioactifs surfactants…Une crème ou un gel, sont en fait des lipides additionnés d’eau puis émulsionnés et gélifiés…
  • Est-il nécessaire d’injecter le mur à satiété ?
    OUI absolument, si le mur peut « boire » 3, 4, 5, ou 6, litres de produit par mètre, il faut les injecter. Notez qu’un mur absorbera autant d’hydrofuge qu’il est capable de contenir d’eau ; s’il peut « boire » 5 litres de produit par mètre, c’est très certainement qu’il contient 5 litres d’eau dans ce même mètre. Cette eau sera dans un premier temps, chassée par le produit (hydrophile), afin que celui-ci prenne place dans les pores, avant de devenir hydrophobe.
  • Jusqu'à quelle hauteur une capillarité peut-elle remonter ?
    En général, une remontée capillaire n'excèdera pas 1.50 m au dessus du niveau de sol extérieur, cependant la loi de Jurin (entre autres) un temps soit peu rébarbative... peut-être consulté en suivant le lien ci-après : La loi de Jurin qui s'exprime par : ​ h est la hauteur du liquide ; γ est le coefficient de tension superficielle du liquide ; θ est l'angle de contact entre le liquide et la paroi du tube, aussi appelé angle de raccordement ; ρ est la masse volumique du liquide ; r est le rayon du tube ; g est l'accélération de la pesanteur.
  • Comment peut-on déterminer par avance la quantité d’hydrofuge que le mur va absorber ?
    Il est possible de se référer à un tableau théorique, cependant la nature et donc la porosité du matériau de construction, fera que pour certaines zones, le mur « boira » plus ou moins… la moyenne est de 40 centilitres par trou soit 4 litres par mètre linéaire. Mais ce n’est qu’une moyenne…
  • Quel entretien nécessite la technologie VMI® ?
    L’entretien des différents modèles VMI® est très simple. Il convient à minima de changer le filtre une à deux fois par an. Pour un entretien plus complet, vous pouvez faire appel à la société OSEC pour vérifier ponctuellement l’état et le fonctionnement du caisson, de la radiocommande, et du réseau aéraulique. ​ NB : Stricto sensu, la VMII® EST une ventilation mécanique contrôlée (VMC)...
  • Pourquoi la technologie VMI® est l’une des meilleurs solutions contre les allergies, notamment respiratoires et les problèmes d’asthme ?
    Parce que la VMI® vous protège par une filtration haute performance de l’air extérieur ; les principaux allergènes véhiculés ne pénètrent pas dans l’habitat (pollens notamment). Découvrez notre gamme de filtres. ​ Comment ? ​ En combattant l’humidité excessive, propice au développement d’allergènes tels que les moisissures ou les acariens, En chassant les polluants de l’air de la maison (COV notamment) qui sont un facteur d’aggravation.
  • Quelles différences entre la technologie VMI®, la ventilation par insufflation, la ventilation par surpression et la ventilation positive ?
    Ventilation par insufflation, ventilation par surpression ou ventilation positive, les 3 expressions font références au même principe de fonctionnement. ​ L’entrée d’air neuf est gérée par la ventilation et l’air vicié est évacué vers l’extérieur de manière naturelle. Toutefois, la VMI® est unique. La marque est déposée et la technologie brevetée. ​
  • Quelle différence entre une VMC et une VMI ?
    Dans les deux cas, ces appareils servent à renouveler l’air d’un local, d’un appartement, d’une maison ou autres sous-sols, caves, etc. Une VMC va aspirer l’air au plafond des pièces humides, créant ainsi une dépression qui fera (pour compenser) entrer l’air de l’extérieur par les ventilations des fenêtres des pièces « sèches » (salon, séjour, chambres…). Une VMI quant à elle va insuffler l’air de l’extérieur grâce à un ou plusieurs diffuseurs, créant ainsi une légère surpression qui fera s’échapper l’air vicié et les polluants de l’habitat (CO2, COV, humidité, radon…) en empêchant la pollution extérieure.
  • Dans quels cas, l’installation d’un cuvelage est-elle nécessaire ?
    Parce que les eaux de pluie pénètrent dans le sous-sol, par manque ou défaillance de l'étanchéité externe. Parce l'humidité a finit par corroder les aciers (IPN) du plafond de cette cave et qui à terme pourrait faire éclater le béton, la pierre, la brique (voûtains). (action des agents chimiques : sels dissous, acides). Parce que les murs enterrés présentent des défauts localisés : fissures, reprises de bétonnage, nids de graviers, etc.
  • Le cuvelage est-il l’ultime recours pour les caves ou sous-sols humides ?
    Il est vrai que réaliser une étanchéité par l’extérieur en dégageant les terres tout autour de la maison, du sous-sol ou de la cave et ce, jusqu’au niveau de la semelle, pour ensuite appliquer un enduit ou un gel bitumineux (par exemple) et de recouvrir le tout par un DELTA®-MS avant de refermer la tranchée ; reste en théorie la meilleure solution. Cependant et en pratique, ce n’est pas toujours faisable, car : ​ MITOYENNETEE : Maison de ville : nous n’allons, bien évidemment pas, détruire la maison du voisin pour étanchéifier le sous-sol, ​ TERRASSE : Une dalle et une chape ont été coulé, attenant à la maison (au bâtiment) et recouvert d’un carrelage ou de pavés… Dans ce cas, pour étancher le sous-sol, il y a deux solutions ; soit détruire une partie de cette terrasse pour creuser jusqu’à la semelle…, soit passer par l’intérieur et mettre en place un cuvelage. ​ FACADE AVANT SUR RUE : Il faudra creuser sous le trottoir en prenant garde aux éventuelles réseaux (eau, gaz, électricité, fibre, etc.) et dans tous les cas obtenir toutes les autorisations, à commencer par celle de la mairie, ​ TERRAINS APPARTENANT AUX VOISINS : Voisins qui refusent que nous transformions leurs jardins en chantier de terrassement…
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